DÉCRET DES PONTIFES
   
SUR LA VALIDITÉ DE LA CONSÉCRATION DE LA MAISON DE CICÉRON
  
57 av. J.-C. )
 

    
Cic., ad Att., IV, 2, 3 ( Nisard, Paris, 1841 ).
 

 
« Que si celui qui disait avoir consacré l'emplacement n'avait agi ni en vertu d'une prescription générale, ni en vertu d'un mandat nominatif, émanant d'une loi, ou écrit dans un plébiscite, la restitution en pouvait être opérée sans porter atteinte à la religion. »