MACER : LE PÉCULE CASTRENSE
 
 
( 222-235 apr. J.-C. )
 

 
J. Gaudemet, Droit privé romain, 2e éd., Paris, 2000, p. 346, n. 60 ).
 

Le pécule castrense comprend ce qui a été donné à celui qui est au service par ses parents ou ses cognats ; ainsi que ce que le fils de famille a acquis lui-même au service, et qu'il n'aurait pas acquis s'il n'avait pas servi : car ce qu'il aurait acquis sans être militaire ne fait pas partie de son pécule castrense.


 
►  Source : Macer, Questions militaires, L. 2 = Digeste, XLIX, 17, 11.